Depuis quelque temps, les dispositifs de distribution via la toile chamboulent la planification de la vente de voyage. Les internautes sont de plus en plus innombrables et s’approprient l’univers web. De ce fait, le consommateur peut accéder avec facilité à une large panoplie de destinations, de prestations touristiques sans bouger.
On en tient propos depuis quelque temps déjà, mais les faits se sont spécifiquement amplifiés durant les 12 à 18 derniers mois. On se réfère incontestablement à la montée en flèche des agences de voyages en ligne comme http://monde-authentique.com/, aussi nommées OTA ou online travel agencies, comme Booking, Expedia, Travelocity ou Orbitz. Il faut déchiffrer leur technique d’affaires pour saisir le cœur du problème. Ces sites œuvrent principalement en termes de revendeur, tel un canal de distribution, distribuant l’indes des hôteliers, tavernes et fournisseurs touristiques. Les hôteliers dénichent ainsi des clients à qui négocier leurs chambres, et les OTA se payent via un pourcentage sur chaque opération réalisée. Ce pourcentage de commission varie entre 15 et 25 %, et peut atteindre les 35 % quand on désire un positionnement gratifié sur la machine de réservation d’Expédia, entre autres. Dans un univers idéal, chacun y trouve son bonheur: le restaurateur acquiert plus de réservations que s’il ne se reposait exclusivement sur son site web et ses stratégies marketing, et l’OTA perçoit des primes fructueuses sur une quantité de ventes avantageuse. Il est vrai que les hôteliers se trouvent devant un grand dilemme, car les OTA occupent incontestablement une position importante dans l’échiquier du service en ligne. Et ce poste enfante des prix élevés, spécialement lorsqu’il touche les ventes qu’on aurait pu avoir en direct. Les OTA disposent de revenus marketing incroyables, et ils ont appris depuis fort longtemps l’atout d’une marque numérique leader, insérant et principalement au niveau du changement mobile. Il n’est pas en reste que nombreux hôteliers arrivent à tirer leur épingle du jeu dans ce biotope compliqué, et qu’on dispose d’option en jouant sur ses outils de contenu comme le site web adaptatif et transactionnel, les infolettres, les réseaux sociaux, les blogs. Le challenge est de varier la distribution, tout en fidélisant les consommateurs. Et de rester aux aguets par rapport aux essors ainsi que les nouvelles tendances ! Ainsi, la montée du tourisme en ligne et l’évolution des techniques de consommation sur le net ont fait apparaître de nouveaux participants qui restructurent les rapports de force en activité au sein de ce domaine.